●Mina●



Surnom: Aucun, mais libre à vous de lui en trouver un.
Âge: Un printemps et huit mois.
Sexe: Femelle ♀
Clan: Nomade
Grade: Inexistant



Caractère

Vous qui la regardez de loin, dites-moi ce que vous voyez. Allez-y, regardez, elle ne vous a probablement pas encore remarqués. Voyez comme elle s’amuse, comme elle semble heureuse. On croirait voir un louveteau n’est-ce pas? Un louveteau qui s’émerveille de voir les feuilles danser dans les arbres, tout là-haut, tournoyant joyeusement sur lui-même pour tenter de suivre leur rythme, seul dans son petit monde.

''Attention'', auriez-vous aimé lui dire, mais trop tard. Elle trébuche, laisse échapper un petit cri de surprise, puis tombe à la renverse. Pendant un bref instant, vous ne la voyez plus, vous vous inquiétez…Puis elle se relève, vérifie si tout est à sa place et soudain, croise votre regard, se fige. Les secondes passent, le silence s’alourdit et c’est alors que, aussi rapide et agile qu’un lièvre, elle disparaît dans le boisé, ne laissant derrière elle qu’une légère odeur. Cependant, une chose vous intrigue. Vous croyez avoir aperçu un petit sourire sur son visage et le vent porte avec lui un message, un murmure. ''Désolée'', avait-elle dit. Désolée. Désolée de vous avoir interrompu, de s’être montrée faible. Désolée d’avoir pris de votre précieux temps et de ne pas avoir osé vous saluer. Désolée d’avoir disparu, comme ça. Désolée pour tout. Oui, elle s’excuse pour tout, toujours, même lorsqu’il n’y a pas vraiment de raison. Elle s’excuse même de s’excuser si souvent, mais elle ne parvient pas à faire autrement. C’est une véritable manie. La source? Son estime de soi. La louve n’a pour ainsi dire aucune confiance en ses capacités, se dit toujours qu’elle peut faire mieux, qu’elle peut faire plus, et ne s’accorde que bien peu d’importance, pour ne pas dire aucune.

En effet, la jeune nomade est très exigeante envers elle-même, perfectionniste au possible. La patience qu’elle donne à autrui, elle ne se l’accorde pas et elle s’autocritique régulièrement et sévèrement. Elle tient toutefois en très haute estime chaque être vivant qui croise sa route, petit ou grand, végétal ou animal, loup du Sud, de l’Est, du Nord ou de l’Ouest, peu importe. Jamais elle ne manquera de respect à qui que ce soit, et c’est à peine si elle ose parler lorsqu’on ne l’interroge pas. Même dans ce dernier cas, elle se montrera terriblement gênée, rigolera peut-être d’un rien - un tic qu’elle tente de corriger tant bien que mal - ou vous semblera quelque peu évasive à sa manière d’éviter votre regard, mais ce n’est pas parce qu’elle n’est pas intéressée. Tout le contraire. Mina sera toujours très heureuse de répondre à vos questions, de discuter avec vous, de partager.

Une alliée, une sœur, une amie ou une simple confidente, elle deviendra ce que vous voulez d’elle. Que vous ayez besoin d’une épaule sur laquelle pleurer ou d’un simple avis, elle répondra toujours présente à l’appel. Attentive aux besoins d’autrui, aider est pour elle un plaisir, une seconde nature. Un appuie qu’elle ne peut ni ne désire refuser. En vérité, c’est une protectrice très maternelle et généreuse de sa personne. Jamais elle n’abandonnera qui que ce soit au profit d’un élan égoïste ou purement malveillant. La belle est bien trop douce pour cela, infiniment trop douce, et fera toujours passer le bonheur des autres avant le sien.

En d’autres termes, Mina est incapable de causer volontairement du tort à qui que ce soit, exècre la violence et cherchera toujours une solution pacifique à toutes situations. Mais elle est très, très, très timide, d’une timidité maladive en vérité, et déteste être le centre d’attention, chose qui - pourtant et malheureusement pour elle -lui arrive fréquemment. Peut-être est-ce parce qu’elle souhaite trop l’éviter justement, qu’elle essaie trop fort…Mais en fait, le problème n’est pas là. Voyez-vous, cette louve est une rêveuse, une grande rêveuse. Toujours la tête dans les nuages! Et c’est aussi une grande enfant, un cœur qu’un rien émerveille et fascine. Son attention se perd donc facilement sur de petites choses qui vous semblent banales mais qui, pour elle, sont de véritables trésors. Elle aime pour tous ceux qui n’aiment pas, voit la beauté là où d’autres ne la voient pas et ne pas s’extasier face à tant de magnificence, ne pas profiter pleinement des petites choses serait à ses yeux un crime abominable. S’arrêter uniquement à l’apparence d’une entité, vivante ou non, ce n’est pour elle que l’effleurer, et il y a tant à voir sous la surface.

C’est d’ailleurs en essayant de voir sous cette dite surface que l’esprit s’égare et que l’imagination prend le dessus. C’est beau, magique, enivrant…C’est ''Bonjour les ennuis!'' Vous vous rappelez de ce qu’il lui est arrivé plus tôt, n’est-ce pas? Vous savez, sa petite chute. Eh bien ça, ça lui arrive constamment, mais pas uniquement parce qu’elle a la tête ailleurs. La louve est terriblement maladroite de nature. Elle pourrait marcher sur un terrain dénué de racine, de pierres et d’arbustes qu’elle trouverait quand même le moyen de trébucher. Elle est également très douée pour se retrouver dans des situations impossibles, parfois même périlleuses, dangereuse pour sa propre vie. Ah, cette vile maladresse…Cette dernière lui fait la vie dure, mais Mina n’est pas louve à perdre facilement le sourire, pas du tout.

Bien qu’elle soit plutôt discrète - quand elle ne fait pas ses cascades involontaires ou rigole à cause d’un papillon poser sur son museau -, il deviendra vite évident pour vous de voir à quel point elle est facile à vivre. Elle aime partager, donner et répandre la joie tout autour d’elle. Partout où Mina pose les pattes, elle sème l’amour et l’espoir… Elle respire tout bonnement la joie de vivre. C’est comme un louveteau qui refuse de grandir. Une grande enfant, joueuse, naïve et pleine de vie, prête à tout pour faire sourire.

Un être pur dénué de préjugés, qui ne connait ni la haine ni la rancune et pardonne facilement, voilà ce qu’elle est. Honte à vous, si vous osez profitez de sa générosité et de sa patience, de sa naïveté. Honte à vous si vous comptez abuser de sa douceur et de sa bonté d’âme. Il faut prendre grand soin de cette créature sensible et délicate, cette louve qui elle, est infiniment loyale envers ceux qu’elle considère comme ses amis, toujours présente et à l’écoute.

Passez la crainte qui l’habite lors d’une première rencontre, et vous aurez à vos côtés une véritable petite perle.

Un regard tendre se pose sur vous, empli d’amour et de bienveillance, d’innocence, un regard qui inspire confiance et joie de vivre. Même le plus beau sourire ne peut rivaliser avec ses magnifiques pierres précieuses, ses yeux dont la couleur délicate s’accorde à merveille à une douce personnalité. Légère, claire, la nuance bleutée de ses iris rappelle l’éclat translucide d’une eau pure, teintée par le reflet d’un ciel sans nuage. Un bleu glacé, poignant, captivant. Ornés par de longs cils noirs contrastant, l’éclat de ses yeux parait ainsi intensifié, et donne l’impression que ceux-ci vous percent à jour, pénétrant votre âme et vos pensées les plus profondes d’un seul regard. Simple sensation ou fait avéré? Le secret est bien gardé, caché derrière ces orbes colorés. Mais la belle ne se résume pas en un beau regard. Son sourire aussi, apaise les esprits troublés. Léger, timide, mais sincère, il ne quitte que bien rarement le visage de la belle. Seules l’inquiétude et la tristesse, la gêne ou la peur peuvent le désagréger, car vous le remarquerez bien assez tôt, jamais la colère ne vient obscurcir les fins traits de son joli minois. Ou tout du moins, pas à la connaissance de ceux qui ont croisé sa route. Outre cela, la louve possède un corps élancé aux courbes on ne peut plus gracieuses pour son jeune âge, courbes qu’une démarche distinguée entreprise avec une aisance toute naturelle mettrait merveilleusement en valeur, si ses grandes pattes fines ne se mutinaient pas contre leur maîtresse. Mais malgré son pas incertain, maladroit, l’absence de prestance et une petite carrure, la jeune nomade peut difficilement passer inaperçue, car si c’est une maladresse qui aura attiré votre regard sur elle, c’est son pelage qui saura retenir votre attention. Soyeux et duveteux à la fois, sa couleur riche n’est pas sans rappeler l’orangé des feuilles d’automnes, ou encore la peau veloutée d’un abricot bien mûr, passant ici d’un roux clair à un roux plus ardent, aux reflets rosés sous le soleil couchant, et là, d’un blanc crème à un blanc aussi pur que la neige au sommet des montagnes. Une flamboyante et envoûtante créature, voilà en quoi se résume la douce Mina.

« Réveilles-toi petite fleur, réveilles-toi. Ne nous quitte pas si tôt, nous t’aimons déjà tellement, ton papa et moi… »

Pas un souffle, pas un bruit. Aucune réponse. La petite bête resta désespérément muette aux appels de celle qui l’eut portée en son ventre pendant si longtemps. Trop longtemps, aurait dit Sanya, impatiente d’accueillir dans ce monde, le fruit d’un amour que nul ne pouvait mesurer. La louve cependant, était inquiète, agitée, et sa voix semblait prête à se briser. Des larmes perlaient au coin de ses mélancoliques yeux gris, des larmes que mêmes son tendre et dévoué compagnon ne put chasser, lui qui pourtant, de coutume, réconfortait la belle de sa seule présence. Mais ce jour-là, cette présence bienveillante ne suffisait pas. Rien ne serait jamais assez fort pour consoler le cœur d’une mère dont la progéniture ne s’éveillerait jamais, qu’il s’agisse de la première…Ou de la troisième fois. Mais cela ne pouvait être vrai. Non, en fait, elle ne pouvait s’y résoudre. Pas encore. Plus jamais. La mort ne lui volerait pas un autre enfant, n’emporterait pas celui-ci dans son royaume, et ce fut donc le cœur rempli d’espoir qu’elle se mit à masser la pauvre petite chose qui se tenait là, inerte entre ses pattes protectrices, tout doucement, du bout de son museau.

Impuissant face à la douleur de son aimée et profondément affligé par cette scène devenue douloureusement familière, Sitka resta silencieux, mais ne quitta pas le flanc de sa tendre moitié, hésitant entre croire et se résigner, et lorsqu’il eut décidé qu’il valait mieux renoncer, un faible gémissement brisa le silence. Leur fille était en vie.

« Bienvenue…Oh, bienvenue ma douce chérie. »

Larmes de peine furent remplacées par larmes de joie, tandis que les deux amants s’échangèrent d’affectueuses caresses, leur regard aimant posé sur ce délicat rayon de soleil. Celle-ci se pelotonna aveuglément au corps de sa mère, qui l’encouragea de ses maternelles et amoureux coups de langue, et ne la quitta plus des yeux un seul instant, de peur qu’elle ne disparaisse à jamais.

C’est ainsi qu’est né l’espoir; un petite ange timide qui se déroba aux cieux pour répondre aux prières d’un couple de loups admirables, un ange à qui l’on donna le doux prénom de Mina.

.°•. °•. °•. .•° .•° .•°.

« Attends, reviens! Je veux juste jouer! » Cria le louveteau à son nouvel ami, tout en rigolant.

Mais l’amusante boule de poils ne s’arrêta pas pour autant et continua sa course effrénée, sans jeter ne serait-ce qu’un seul regard vers la pauvre petite chose qui, derrière, le suivait tant bien que mal. Il se contentait de zigzaguer çà et là, semant petit à petit sa jeune et tenace poursuivante qui trébuchait ici sur une racine légèrement découverte, et là sur un caillou à peine plus gros qu’une souris. Néanmoins, elle tint bon, et ses efforts s’apprêtèrent à porter leurs fruits quand soudain, l’étrange animal aux longues oreilles disparu sous terre.

Curieuse, la petite louve s’approcha du terrier et en renifla l’entrée avec insistance. Oui, son nouveau compagnon de jeu était bien là! Mais…C’est qu’il faisait tout noir, là-dedans.

« Eh oh, Longues-Oreilles? Tu peux sortir de ta cachette maintenant, je t’ai trouvé. Allez, viens! »

Aucune réponse, mais devait-elle s’en étonnée? Il ne semblait pas l’avoir entendue non plus, tout à l’heure. Peut-être était-il sourd? Mais alors, à quoi lui servaient ses grandes oreilles si rigolotes? Car ils s'agissaient bien de ses oreilles, n’est-ce pas? Oh, tant pis pour les questions. Ce qu’elle voulait, là, maintenant, c’était quelqu’un avec qui s’amuser. Elle prit donc son courage à deux pattes, s’accroupit devant la cachette et au moment où elle se mit à ramper dans cet étrange trou tout sombre, elle reçut une poignée de terre en plein visage. Glapissant de peur et momentanément aveuglée par la matière brunâtre, le louveteau recula en toute hâte et, s’emmêlant bêtement les pattes sous la panique, tomba à la renverse.

La petite louve couina, gémit en se frottant les yeux du revers de la patte, mais dès qu’un léger rire lui parvint, elle cessa aussitôt de pleurnicher. Ce rire, elle le reconnaissait, le reconnaitrait même entre mille autres! Tout comme cette réconfortante et douce odeur; l’odeur de sa douce maman.

« Regardez-moi ça. Difficile de croire qu’il y a mon petit ange sous toute cette crasse.»

Sanya attrapa délicatement sa fille par la peau du cou, s’étendit sur le sol, puis la laissa tomber entre ses pattes accueillantes. La petite se laissa faire sans rechigner, savourant la douceur du pelage de sa mère, ses coups de langues affectueux.

« Voilà qui est bien mieux. Il serait dommage de cacher une si jolie fourrure, tu ne trouves pas?» Fit-elle en frottant sa truffe à celle de son enfant, qui répondit en rigolant.

« C’est de la faute à monsieur Longues-Oreilles! Si, si! Il n’a pas voulu jouer avec moi…» Répondit-elle, les oreilles basses, avant de lever ses délicates pierres précieuses vers sa mère. « Maman, où sont les autres louveteaux? C’est que je m’ennuie, toute seule. Les autres animaux ne veulent pas jouer avec moi…On dirait qu’ils ont peur…Mais je ne suis pas vilaine, maman, si? Je fais peur? C’est pour ça que les autres qui sont comme moi, ils ne viennent pas jouer avec moi? »

« Oh, Mina…Bien sûr que non, tu n’es pas vilaine. Il ne s’agit pas de toi, je t’assure. Je ne connais pas plus adorable que toi ma chérie. Mais vois-tu, ce sont des histoires de grands et-»

La petite coupa sa mère, sachant très bien ce qui allait suivre. Elle lui avait répété de nombreuses fois cette même phrase et toujours, elle avait accepté, s’était résignée. Mais pas aujourd’hui.

« Mais maman, je veux comprendre. S’il te plaît…»

Longuement, dans un silence des plus inquiétants, Sanya observa sa fille. Cette dernière allait-elle se faire gronder pour avoir osé répondre à sa mère? Serait-elle punie à cause de ses questions? Pourtant, n’était-il pas normal qu’elle veuille en savoir davantage, elle qui vivait seule avec ses parents, voyageait beaucoup, n’avait pas de réel chez-soi ni d’amis? Un soupire s’échappa des lèvres de la louve qui, levant les yeux vers le ciel, se résigna. Sa fille avait le droit de savoir.

« Très bien ma douce, dans ce cas, laisse-moi te raconter une histoire. »

Patiemment, dévisageant amoureusement le visage de son petit ange, la louve fit le récit des évènements ayant conduit à la naissance des meutes. Les querelles, les rébellions, les guerres intestines…Tout ce qui a amené à la création des clans tels qu’ils étaient aujourd’hui. Ainsi, elle lui expliqua que chaque meute avait un territoire qui lui était propre, un territoire où les loups appartenant à la dite meute pouvaient vivre ensemble et en harmonie. Toutefois, ceux qui ne partageaient pas le même sang, le même chef, n’avaient aucun droit sur ces territoires et dès lors, ils ne pouvaient y vivre ou y pénétrer sans être châtié. Car c’est un crime que de poser les pattes dans la demeure d’autrui sans y être invité.

« C’est pourquoi nous évitons certains endroits, passons par d’autres chemins, et pourquoi nous ne rencontrons que peu de petits louveteaux comme toi, ma chérie.»

En effet, cela permettait d’expliquer bons nombres de choses, mais…Pas toute.

« Alors…Alors pourquoi on n’a pas de meutes, nous? Pourquoi on n’est pas avec d’autres loups? On est des gentils! On pourrait être ami avec tout le monde et puis…Et puis on pourrait faire la paix! Comme ça, tout le monde serait heureux et on s’amuserait tous ensemble! » Dit la jeune Mina, toute excitée, glissant hors de l’étreinte maternelle pour finalement s’écraser à plat ventre sur le sol.

Gênée, elle n’en sourit pas moins à sa mère, puis elle se releva, son regard rivé vers sa génitrice qui ne put s’empêcher de sourire.

« Ce serait merveilleux, ma douce. Cependant, les choses sont bien plus compliquées qu’elles ne semblent l’être. Un jour, je t’en dirais davantage et t’expliquerais pourquoi nous ne faisons pas partie de l’une de ces meutes, je te le promets. Pour l’heure, ton père nous attend avec le dîner. Tu ne voudrais quand même pas qu’il garde le tout pour lui tout seul, n’est-ce pas?»

« Ah non! Moi aussi, j’ai faim! »

Un nouveau rire vint aux babines de la Nomade, qui attrapa sa jeune fille entre ses mâchoires avant de se diriger plus loin dans le boisé, là où devait se trouver son compagnon et la proie qu’ils avaient tous deux chassée juste avant que Mina ne se sauve pour aller jouer avec son petit camarade aux longues oreilles. Oui, un jour, elle lui expliquerait tout ça, se dit Sanya. Un jour…Mais ce jour ne vint jamais.

.°•. °•. °•. .•° .•° .•°.

-------------------------------------------------------------------------------------

Derrière l'écran

Pseudo/Puf: La liste est longue, alors contentons-nous simplement de Mina.
Âge: 21 ans
Comment as-tu connu le forum ? Il est peut-être aveugle, mais il connait mes goûts et sait ce qui est susceptible de me plaire. N’est-ce pas Asmita?
Comment le trouves-tu ? Magnifique, et la couleur est si apaisante…
Des suggestions ? Aucune, mais si quelque chose me vient en tête, je ferai signe. C’est promis!
As-tu lu le règlement ? Évidemment. Que la foudre s’abatte sur moi sur le champ si tel n’est pas le cas!
Code du règlement:Okay par Lulu